Néanmoins, le plus important reste la motivation, les compétences, les antécédents et la solvabilité du candidat repreneur
une combinaison de sources de financement peut offrir une solution.
1. Fonds Propres
Le repreneur doit d'abord investir ses propres fonds. Les banques et les investisseurs veulent voir que l'acheteur est prêt à prendre des risques. La norme actuelle est d'environ 25% (mais cela peut être discuté s'il y a d'autres sources de financement subordonné).
2. Prêt Bancaire - Crédit d'Investissement
Un prêt bancaire est la source de financement la plus avantageuse et donc l'option la plus courante. Une capacité de remboursement clairement calculée, un plan d'affaires détaillé avec les détails des besoins de financement sont essentiels. Les banques apprécient les scénarios réalistes plutôt que des prévisions parfois trop optimistes.
3 Prêt Subordonné (cas spécifique du vendor loan)
Si le financement bancaire n'est pas suffisant, un prêt subordonné peut être une solution. Il s'agit d'un prêt "subordonné" qui ne peut être remboursé qu'après le règlement d'autres obligations financières. Une forme particulière de prêt subordonné est un (partiel) report de paiement accordé par le vendeur pour aider l'acheteur à finaliser son financement d'acquisition. Cela s'appelle un 'vendor loan' (prêt du vendeur).
4 Earn-out
Alors qu'avec un prêt du vendeur, le paiement différé est inconditionnel, avec un earn-out, une partie du prix d'achat dépendra des performances futures de l'entreprise. Je le déconseille, car il y a souvent trop de discussions sur la manière de vérifier ces performances futures.
6 Family, Friends & Fans
Si le financement est difficile à obtenir ailleurs, le réseau du repreneur pourrait peut-être l'aider. Des accords clairs sur les taux d'intérêt et le remboursement sont essentiels. Une forme particulière de prêt qui peut être accordée par les relations de l'acheteur (ou du vendeur) est la surnommée "win-winlening" en Flandre et « Prêt coup de pouse » en Wallonie.
